Bonjour les Barbus ( Moustachus et imberbes itou),
Après avoir lu le forum en long, large et travers (de porc), je m’intromise enfin…
Mi chiamo Régis (ne cherchez pas une quelconque inspiration parentale, je suis né avant le passage des Nuls sur Canal), 42 ans et dans le Var (là ou il y a du soleil DONC on ne travaille jamais bien sûr).
Les joujoux, dans l’ordre historique question de vous saouler un peu :
-50 Flandria
-Pigeot 105 (petite couronne quand même)
-80CR honda petites roues (‘chuis pas bien grand de toute façon)
-80 DTLC Yamaha (celui avec freins tambours et vibrations HD)
-125 TZR Yamaha
-600 Dominator Honda (plus souvent par terre que droit)
-250 RGV Suzuki (raaah, m’en suis jamais remis des arsouilles avec, a donc fini en épave comme celle de deux autres collègues dans une Fiat…)
-600XR Honda (un nain là-dessus, c’est toujours marrant !!!)
-600CBR Honda de 93 (jamais autant fait chier là-dessus)
…ET ENFIN, un jour en montant sur le 600SS d’un collègue, le déclic : à donf sur les bracelets, relativement léger, ça sent la trajectoire, le gros freinage avec en plus un côté rétro et nostalgique !. Donc en 1996 nous voilà avec un 750ss neuf, qui suinte l’huile dès les 1ers km cause pas de boulon plastique évidé du cable d’alternateur, un phare-aquarium et des carbus givrants un matin d’avril. Mais rien n’assombrit un nouvel amour en rôdage. Ah, si ! Une voiture en travers ; à la limite de l’épave, mais on en profite pour rajouter les silencieux Imola (Silmotors), disques fontes, carbus Keihin inréglables, mano température, dosseret de selle et j’en passe. C’est le rêve (moteur un chouilla limite quand même) jusqu’à ce que je pose mes maigres fesses sur un 748 de 97 : un rail une fois la notice assimilée, et un moteur de ouf avec un rupteur qui vous saute à la trombine lors des dépassements…
Bon, l’idile a une fin : devenu Papa, on prend un Fazer600 au coût d’entretien plus raisonnable… avant de le revendre un an après. Puis 4 ans sans rien avant de reprendre un 400DRZ SM (question de se trainer pour aller au taf, hein, on va pas prendre un scoot quand-même !), puis un autre Fazer600 question de se trainer pour aller au taf, hein, on va pas prendre moins de 90cv quand-même !).
Vient finalement l’essai d’un M1100 qui déclencha l’appel du Desmo, et nous voilà en ce beau mois d’avril en possession d’un M900 s ie de 2000. HEU-REUX !!! Après avoir viré le vilain joint de cloche d’embrayoir, le clingcling typique chante à mes esgourdes, les Silmotors carbone me les cassent, le moteur est plein de fun. C’est un rêve qui se concrétise ce joujou (bon, au départ on était parti pour un 900ss carbu/barbu mais vu la côte j’ai très vite déchanté…).
Je sais, c’est long mais les thérapies de groupe, moi, ça me soulage
Donc enchanté moi aussi de vous lire sur ce fofo-de-fou. Tchuss à tous
P.S. Un tuto sur la dissection et la recherche de pannes des compte-tours en prépa.