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Auteur Sujet: Week end Ducati dans le Sud...  (Lu 609 fois)

yannick

  • Invité
Week end Ducati dans le Sud...
« le: 04 octobre 2006, 09H 48mn 01s »
CR d'un week end de Septembre...



Tout a commencé il y a deux ou trois semaines, alors que je me rendais chez mon concess Ducati pour récupérer le dernier accessoire qui va bien pour ma multistrada. Jean-Pierre, le boss de la concession, me chope et me propose de me joindre à une fine équipe pour un week end de moto dans le sud. Au programme: la route Napoléon, un détour par l'Italie, et la côte méditerranéenne. Rouler avec des fous de Ducati? Pourquoi pas, même si je dois avouer que j'appréhende un peu de rouler avec des arsouilleurs de première. Bref, après avoir été rassuré par le boss, je me lance, et après quelques hésitations "familiales", je signe pour ce week end de folie.

J-2: la dépose des engins.

Mercredi soir, je me fais accompagner à la concession pour y déposer la moto. Afin d'optimiser le week-end et de passer le plus gros de notre temps sur des routes sympathiques, nos deux roues feront une partie du chemin dans un camion. On ne les récupèrera à Grenoble que le jeudi soir, où elles coucheront dans le parking de l'hotel. La plupart des partenaires de route de ma multi sont déjà arrivées, et d'un coup, de gros doutes m'envahissent: un S2R 800 bien sauvage, un S4R, un multi 1000SDS, un 749S, un 999, et un 998 série limitée Bayliss. Je discute avec Jean Pierre et il manque a priori un ST3S et un mostro 900. Et les 600, ils sont où? Je me sens encore un jeune conducteur en gros cube, et ne rouler qu'avec de tels monstres, ça me la met un peu mauvaise. Bref, on verra bien, mais je ne compte surtout pas rouler au dessus de mes moyens ni mettre la multi par terre.

J-1: le TGV.

Jeudi soir. Fin du dernier meeting à 17H30. Je vérifie que mon sac est bien complet: ma paire de bottes est bien là et elles sont graissées, la combinaison de pluie est à sa place. Quelques t-shirts et un jean de rechange, les probabilités que le temps soit clément le vendredi étant proches de zéro. 18h00, le grand départ. Un petit coup de fil à ma tendre épouse sur le chemin du RER, et les dernières promesses de prudence. Ca m'ennuie un peu de la laisser encore une fois toute seule, mais une balade comme ça, je n'aurai peut être jamais la chance de faire ça à nouveau. Le RER m'emmène tranquillement à la gare de Lyon, et je me demande si j'ai bien fait, si je ne vais pas ralentir le groupe. Sur le quai, en attendant le groupe, je discute avec 2 québecoises qui visitent la France. Ca détend, et ça permet d'évacuer un peu le stress.

Je rencontre mes partenaires une dizaine de minutes avant le départ: Jean Pierre est là, Sèb, le mécano de la concession, Pascal, le propriétaire de la 998, Jean Michel, celui de la 749S, Pierre, et sa ST3, Christophe, celui de la Multi SDS et Jeremy, le "petit jeunot" avec son S2R 800. Tous des motards d'expérience, hormis Jeremy et moi même. Il a l'air d'appréhender un peu. Ca me rassure, je ne suis pas seul. Le contact se fait plutôt bien et nous passons tout le voyage à discuter de bécanes. Chose surprenante, on parle de japonaises, d'allemandes, de Harley, et tout ça sans aucun a priori. C'est dingue de voir que ces passionés de Ducati ne sont pas omnibulés par une marque en particulier et que leur culture motarde est très complète, et ce quelle que soit la marque discutée. Les trois heures du voyage passent bien vite et nous arrivons sur Grenoble. Une petite demi heure de marche pour retrouver l'hotel, une petite demi heure pour leur faire comprendre qu'il faut que l'on mette les motos dans le parking, un petit 10 minutes pour faire la connaissance du 9ème laron, Pierre (encore), proprio d'une superbe mostro 900. La soirée se termine par un petit pot au bar de l'hotel et tout le monde rejoint sa chambre vers 1h du matin. Le rendez vous est fixé pour 7h30 le lendemain, au café... Dur...

Jour J: les choses sérieuses commencent.

Après un lever difficile et un petit déj' copieux, nous avons le droit au briefing matinal. "John Peter" nous rappelle les consignes de base: la quinconce, pas de freinage en virage, ne pas rouler au dessus de ses moyens. La pluie tombe déjà, et nous décidons de partir équipés de nos combinaisons de pluie. Je vais donc enfiler pour la première fois de ma vie ce truc horrible qui me déplait tant. Pas le choix, malheureusement. On se rend à la station service faire les pleins, et ça tombe... vraiment... Le décollage de Grenoble se fait aux environs de 9h. Nous sommes déjà un peu à la bourre sur le planning, mais bon, ça devrait le faire. De toutes façons, on doit être à Nice dans la soirée, donc il faut rouler. Et avec un peu de chance, le soleil se lèvera.

 

Pierre "mostro" ouvre tranquillement la route, et nous nous dirigeons d'entrèe vers le col du Lautaret. La route est belle, mais bien trop détrempée pour pouvoir l'apprécier à sa juste valeur. La pluie cause des différences de rythme plutôt impressionnantes, tous n'ayant pas la même confiance dans leur machine. Comme dans toute balade, on va s'attendre en haut, donc je laisse les plus rapides filer, et je distance les plus lents. Je fais la route tranquillement avec Jeremy. Il commence à faire froid, et la pluie commence déjà refroidir les mains et les pieds. Je me dis qu'il serait temps que je pense à réinvestir dans une nouvelle paire de bottes. Nous arrivons au col, et nous réfugions dans l'unique troquet pour y prendre une boisson chaude. Jean Michel arrivera le dernier, tout sourire, comme à son habitude. Un brouillard ruine tout espoir de panorama, mais la route, bien que traitre, est sympa.

Nous décidons de tenter le col de l'Izoard. Selon Pierre, le revêtement est de bonne qualité, mais les lacets un peu plus serrés: il faudra faire gaffe. Là encore, les différences de rythme étirent le groupe: les deux Pierre, Christophe et Seb sont devant, Pascal, Jean Pierre, Jeremy et moi sommes au milieu, et Jean Michel poursuit tranquillement son ascension à l'arrière du peloton. Les lacets sont très serrés, mais coller le train à deux superbikes procure une sensation très proche de la fierté. Une chose est sure, j'adore la moto, et je sens de plus en plus que malgré le temps pourri, cette balade va être mémorable. Petite pause "rassemblement" en haut de l'Izoard, et échange d'impressions... Trop cool...



Quelques photos plus tard, et le groupe repart, Jean-Pierre et Pierre ont échangés leurs montures respectives (ST3 et 999) pour la descente. Le brouillard est relativement épais, et les groupes restent en gros les mêmes que pour la montée. Sauf que pour ma part, je suis un, voire deux crans en dessous, car le revêtement mouillé et la visibilité à 20m ne m'inspirent pas vraiment confiance. On se sort tranquillement de cette purée de poids, et on continue notre route à un rythme plus soutenu. On arrive sur le groupe de tête qui semble nous attendre dans un virage... qui semble seulement car la 999 a visiblement chuté et est dans un bien triste état. Pierre, qui la conduisait, n'a pas grand chose, et ma foi, cela reste le principal. Un autochtone nous propose de garder la belle chez lui, et Jean Pierre s'arrange pour que le transporteur vienne la récupérer. L'un d'entre nous va devoir se dévouer et passer en passager. Jean Pierre se dévouera, mais Seb prendra bien vite sa place, et ce jusque la fin du week end. Après une petite heure perdue, nosu repartons vers Embrun où nous ferons une pause déjeuner/décompression...

Vers 15h, nous repartons, les kilomètres étant encore nombreux. Nous nous dirigeons vers Gap et enchainons les petites routes sympas. Je passe en ouvreur sur un gros morceau d'autoroute durant lequel j'impose un rythme insoutenable de 120km/h. Nous ressortirons pour prendre la direction de Dignes les Bains. Jean Michel manque à l'appel, et nous attendrons 20 bonnes minutes qu'il arrive. Il s'était malheureusement trompé de sortie et a été induit dans l'erreur par des gendarmes qui lui ont certifié avoir vu un groupe de motards sortir à Sisteron. Nous enchainons alors vers la route Napoléon, et nous dirigeons enfin vers Nice. Il fait froid, il pleut toujours. Ma combinaison commence à percer et nous roulons plus que nous ne profitons du paysage. Je colle au train de Christophe dans les virages. La fatigue commence à apparaitre dans le groupe, et Jeremy lache un peu les rouleurs de tête; le rythme imposé étant relativement soutenu. On s'arrête avant Castellane pour que le groupe se rassemble. La nuit commence à tomber. Il faut continuer. Nous reprenons la direction de Grasse et nous terminons cette première journée de périple sur les rotules, en gardant de la journée une impression... d'humidité.

Un petit resto en centre ville, un retour à l'hotel par le bord de mer, et la nuit commence pour moi à 1h40 du matin après avoir posté quelques nouvelles sur internet. Je louperai une sombre histoire de Coréen avec un certain "schumacher" que je ne peux pas plus détailler ici, sous peine de voire les révisions de la multi faites d'une manière un peu bizarre...


Samedi: Mama mia...



Samedi matin, malgré le soleil qui est présent sur la côte, bien que timide, des pluies sont annoncées à l'intérieur des terres. Le programme de la journée est donc relativement compromis, personne n'ayant envie d'enchainer des bornes sous la flotte comme nous l'avons fait la veille. Réunis en conseil de guerre, nous décidons, suite à une suggestion de Pascal, de partir un peu plus loin que prévu en Italie pour voir des villages qui en valent la peine. Direction Genova, par l'autoroute malheureusement. Les arsouilleurs partent en tête, et venant de boucler mon rôdage, je tente de suivre, sans pour autant abuser. Et je me laisse un peu trop distancer... Juste le temps de voir une partie du groupe rentrer dans une station service pour le ravitaillement. Je m'arrête donc à la suivante, en effectuant un freinage digne d'un pilote pour ne pas louper l'entrée: c'est quoi ces stations où il n'y a aucune voie de décélération pour s'insérer??? Je fais mon plein tranquille et je vois passer Pascal, tout seul. Je ne suis pas tout seul en tête, et je repars donc tranquille. Les autres vont surement me rattraper, et je recollerai au groupe. L'autoroute est relativement sinueuse, et en arrivant sur Genova, quelques virages sont bien sympas. Manque de chance, le groupe n'est toujours pas là et je sors donc à la première sortie. Je me mets sur le côté derrière deux italiens qui discutent avec ferveur, et j'attends... Je laisse un message sur le portable de Jean Pierre pour leur dire où je suis, au cas où il le consulterait avant de repartir. Dix minutes plus tard, je vois le groupe passer sur l'autoroute. Ils ne sont pas sortis. Je demande à l'un des deux italiens comment me rendre à la prochaine sortie, et c'est relativement simple: suivre la route longeant la mer. Je devrais y arriver.



Ma remontée le long du port s'avère bien plus dangereuse que prévu. Les scooters surgissent de partout, coupant la route, ne respectant aucune priorité. Ca klaxonne dans tous les sens. La peur de la gamelle met tous mes sens en alerte et je poursuis ma progression dans cette jungle urbaine pour rejoindre le groupe. Dans le pire des cas, je repars sur Nice si je ne les trouve pas. D'un coup, une main surgit devant moi. Un petit coup de flippe plus tard, je me rends compte que ce sont Seb et Pierre sur la ST3 qui eux aussi se sont retrouvés tous seuls. Bref, ils viennent du sud où il n'y a rien, et je viens du Nord, où il n'y a rien. On décide donc de s'arrêter et on tente de rappeler Jean Pierre. Après quelques coups de fil, et une petite heure, la plupart du groupe est rassemblée. Manque Pascal, malheureusement. 13h30: la faim nous pousse à nous diriger vers une petite pizzeria. Pascal appelle: il est a Porto Fino, une trentaine de bornes plus loin. Grosse mésentente du groupe sur ce coup. Mais après avoir déjeuné et après quelques nouvelles dislocations du groupe, nous le rejoindrons là bas.



Porto Fino est un petit village en bord de mer, très sympathique, et autant j'ai maudit Genova, autant ce petit port me donne un autre aperçu de l'Italie. Des petites maisons bien sympas, des yachts de toute beauté, et des filles... de rêve... Un petit café glacé en terrasse, et c'est déjà l'heure de repartir. Jean-Pierre a donné rendez-vous à un groupe d'anglaises vers 19h00, et nous avons quand même quelques 250kms à abattre pour rallier Nice. Cette perspective a l'air de motiver les plus rapides car le rythme imprimé est très largment inavouable. Des Ducati à toc sur les viaducs à la queue leuleu, c'est quand même vraiment beau. Ce ne sera pas suffisant malheureusement, et quand nous débarquerons à l'hotel vers 19h30, les filles seront déjà parties. Nous montons tranquillement dans les chambres et nous fixons un rendez vous pour 20h15 pour aller déjeuner. Pascal arrivera 15 minutes après nous, Seb et Pierre "ST3" une patite demi heure, et Jean michel une cinquantaine de minutes. Je pense que c'est le seul a avoir été raisonnable, malgré une pointe de vitesse avouée à 163 km/h. Paaas bieeeen Jean-Michel!!!! ;)
Nous sommes tous un peu rétamés, et après un resto ou Pierre "ST3" nous lachera en cours, nous nous redirigeons vers l'hotel pour un dernier petit verre. Christophe flashera sur deux aguicheuses dont nous taierons la profession. Je file me coucher vers 1h20. La journée a été longue, et les sensations nombreuses. Pas de nouvelles sur internet ce soir, mais je me rattraperai demain matin.

Dimanche: on remet ça...

Le petit déj est fixé à 8h00, mais le paquetage doit être prêt avant de descendre. Il n'ya pas de temps à perdre, car nous devons décider du programme et rallier Marseille avant 18h. Après de nombreuses discussions, nous décidons de préférer les Gorges du Verdon à la côte, afin de pouvoir apprécier les paysages que nous avions loupé le vendredi à cause de la pluie. Pierre "ST3", n'étant pas d'humeur sociale ce dimanche, décide de rouler en solo. Pierre "mostro" nous quitte pour rallier direct Marseille. Dommage, ça faisait un bon lièvre pour le novice que je suis.

Le temps est magnifique et nous partons donc à 6 motos vers Vence. Les remontées de file sont relativement pénibles, mais une fois sortis de la ville, la route est magnifique. Le soleil étant de la partie, cela ne gache vraiment rien au plaisir. Jean-Pierre qui a pris Seb en passager sur le multistrada de Christophe (oui je sais, ça fait un peu Santa Barbara) ouvre vers Castellane à un rythme très agréable et digne des routes viroleuses qui nous sont offertes. Ca avoinne sec, mais en toute sécurité, et c'est vraiment excellent. Le "petit" S2R de Jeremy a un peu de mal en reprises par moments, mais il sait le mener d'une bonne main. Jean-Michel se laisse distancer, préférant rouler à son rythme et apprécier un peu plus ces superbes paysages. Une petite pause plus tard, nous partons à un rythme moins soutenu derrière Jean-Michel, direction les Gorges du Verdon. La route est excellente, et nous profitons d'une sandwicherie pour nous ravitailler et prendre quelques photos. La route est très sinueuse, en bord de falaise, et nous enchainerons la trentaine de kilomètres de virages ininterrompus à une vitesse plus que raisonnable.



Les gorges passées, trois d'entre nous avaient visiblement besoin de se défouler la poignée droite. Je décide donc de partir à un rythme moins raisonnable en direction de Bayols, suivi par Jeremy et Christophe. Et quand je décide après quelques bornes de relacher un peu, C'est Christophe qui se met à ouvrir un peu plus. Y'a pas à dire: arsouiller, c'est vraiment bon. Et c'est encore meilleur quand une porsche essaie de vous coller un zef dans les successions de virages. J'ai bien dit "essaie" ;). Un petit café à Bayols, village très sympathique, et nous enchainerons la descente vers Marseille, terminant même à mon plus grand regret par un bout d'autoroute. Il est temps de charger les motos, et de reprendre le TGV vers Paris... Nous sommes tous visiblement crevés, mais ces trois jours furent bons...

 

Lundi: le bilan

Que dire, si ce n'est que ce week end fut grandiose et l'organisation à la hauteur (trajet, hébergement). Je suis de plus en plus convaincu que la multistrada est une bécane superbe, à la fois à l'aise sur autoroute et très agile en arsouille. Beaucoup d'inédits pour moi aussi: une pointe à une vitesse jamais atteinte "pour tester ;)" sur l'autoroute en Italie, un rupteur en pleine arsouille dans l'arrière pays Marseillais, des bandes de peur plus que jamais réduites, et surtout, des souvenirs plein la tête. Je pourrais aussi parler des paradoxes des ducatistes: les possesseurs de superbike sont de loin les plus raisonnables, et les conducteurs de mostro, pourtant moins protégés, sont vraiment ceux qui ouvrent le plus sur voie rapide. Bref que du bonheur, et le désir de remettre ça dès que ce sera possible... et raisonnable pour la vie de famille ;)

Merci à Jean-Pierre d'avoir organisé tout ça...

Merci à tous ceux qui m'ont mis plein de commentaires sympas lors de ce petit périple ;)

Les tofs ici

Hors ligne Lizou

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Re : Week end Ducati dans le Sud...
« Réponse #1 le: 04 octobre 2006, 10H 29mn 17s »
Joli récit. Dommage pour la pluie, y'avait vraiment de quoi faire dans cette région.
Divorcée à l'amiable de Biquette puis de Cocotte (800 SSie), après 18 ans de vie commune.
En ménage à trois avec le Playmobil (Duke 790) et la Diva (996) de Sauval.

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archilab30

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Re : Re : Week end Ducati dans le Sud...
« Réponse #2 le: 04 octobre 2006, 10H 34mn 36s »
Joli récit. Dommage pour la pluie, y'avait vraiment de quoi faire dans cette région.

+1

ITISAR

  • Invité
Re : Week end Ducati dans le Sud...
« Réponse #3 le: 04 octobre 2006, 10H 42mn 35s »
Porto Fino est à Deauville ce que Gênes est au Havre.

En poussant plus au sud : Viareggio et la côte de Toscane
puis l'intérieur des terres évidement.
 :P

Joli récit.
 :D


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Re : Re : Re : Week end Ducati dans le Sud...
« Réponse #4 le: 04 octobre 2006, 16H 00mn 04s »
Joli récit. Dommage pour la pluie, y'avait vraiment de quoi faire dans cette région.

+1
+1 :cheers:
Ma présentation est ICI
Et les photos de mes Ducat

500Pantah
900MHR
900SS

Une abréviation inconnue ! Dictionnaire d'acronymes
Problème pour insérer une photo !
 :cheers:

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Re : Week end Ducati dans le Sud...
« Réponse #5 le: 05 octobre 2006, 16H 38mn 22s »
J'devais la faire c'te ballade,dommage que le budjet était au dessus de mes moyens  :?
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