Donc pour résumer, on a:
Si il fait chaud, la piste sera chaude, l'air aussi, le pneu aura tendance à prendre quelques degrés de plus, ce qui va augmenter la pression interne et réduire l'empreinte au sol. dans ce cas, il faut donc baisser un peu la pression pour revenir sur l'empreinte idéal.
Si il fait froid, l'empreinte sera très grande, et diffusera la puissance moteur sur trop de surface pour le monter à température. Il faut donc mettre plus d'air pour réduire l'empreintequi me parait pas du tout idiot et qui correspond à la réalité sur piste à savoir plus il fait froid, plus il faut gonfler
Et de l'autre on a
"moins un pneu est gonflé, plus il se déforme, plus il chauffe" qui correspond à la réalité sur une bagnole et qui parait pas idiot non plus.
Qui a raison ?
Est ce que la réalité ne correspond pas à un savant mélange des deux à savoir disons pour un pneu pas assez gonflé, (1) trop de déformation, ça chauffe, même si de l'autre côté, (2) plus de contact, donc plus de répartition de la chaleur, ça chauffe moins... le phénomène (1) prenant le pas sur le (2) ou inversement ....
J'avais lu aussi qu'à l'époque, McCoy arrivait avec des pneus en bon état à la fin des courses (ça date de 2000), parce que les glisses faisaient que le pneu chauffait moins dû à moins "d'abrasion"
Bref c'est le bordel

Sur les Dunlop GP racer, 1.3 à froid à l'arrière, 2.1 à froid à l'avant, et c'est nickel
Si tu mets plus à l'arrière, tu glisses (moins j'ai pas osé)... pour l'avant, j'ai pas le niveau pour jouer avec les glisses
