L’embrayage.
À bain d’huile, sur les couples coniques.
Et le plus étonnant, c’est la tige de poussée. Du fait d’un alignement approximatif des conduits et ouvertures percées dans l’arbre et les carters, elle est constituée de plusieurs morceaux de diamètre et tailles différents. Le saucissonnage côté levier/cache PSB est encore plus important pour prendre en compte la trajectoire en arc de cercle de la coupelle de poussée, fixe sur un levier qui pivote. Donc au démontage (en poussant de la gauche vers la droite), il ne faut pas se louper et bien tout récupérer et mémoriser l’ordre.

Pourquoi démonter? Pour nettoyer et bien regraisser. Au remontage, il faut enfiler les petit diamètre par la gauche et les gros diamètres par la droite. On ferme à gauche par la vis de réglage de la garde (qui permet simplement de positionner l’ensemble des pièces de poussée latéralement), et à droite, ce sera plus tard, lorsque je remonterai le couvercle du pignon de sortie de boîte, auquel le levier d’embrayage est intégré.
Ensuite, le reste, c’est classique, hormis le plateau de pression qui est garni à l’intérieur et qui se monte sans repère, en cherchant une position où les ergots des ressorts sont bien en face des trous. Simple.
En démontant, j’ai trouvé un ensemble qui parait neuf, avec de belles garnitures marquées « Surflex » . Épaisseur de l’empilement à 40mm, et ressorts à 29,5-29,9mm, ce qui est nickel d’après les valeurs indiquées dans la RMT. Et un ensemble cloche/noix sans la moindre trace d’usure, c’est très beau…




Et remontage du PSB. Là-aussi, ça commence à être beau.

