« Je pense que c’est irrespectueux vis-à-vis de moi de dire que c’est la faute à un manque de chance. Moi aussi, je pourrais trouver des excuses à chaque fois que j’arrive derrière lui (Jorge Lorenzo), plutôt vingt fois qu’une ».Mais ce n’est pas puisque l’Italien a rarement sa langue dans sa poche. Lorsqu’on l’interroge sur le fait que Jorge Lorenzo a usé plus rapidement ses pneus que lui, il ne passe pas par quatre chemins : « je pourrais dire que j’ai été plus intelligent mais on dira que j’ai été plus chanceux »