en même temps le nord vous etes pas aidé : tous des alcooliques!
Entièrement d'accord avec toi Steph!Le problème de fond, commun a tous véhicules/usagés, est celui que j'avançais sur le post où j'avais mis le liens vers l'article de Métro qui parlait des morts, blessés en 2 roues, en décembre dernier:une bonne formation, adaptée et continue avec une politique de prévention du gouvernement en soutien (la répression en fait parti, sans sombrer dans l'excès!):ya que ça de vrai pour baiser ou maintenir une sinistralité faible!
La moto ne va pas diparaitre, elle va évoluer. (Pas forcément comme on le voudrait... mais on a pas le choix si on veut qu'elle existe toujours à l'avenir).
Parce que si ça doit juste être une critique politique, on clôt de suite...
Et pour ceux qui ont la mémoire courte (Sarko, la droite, blablabla...), je rapellerai juste que si le premier radar auto a été inauguré en 2003 par Sarko/Villepin...
La loi des 100 chevaux même si elle est débile ne me gène pas.
Le périphérique parisien à 50 km/h la nuit ? Lutter contre la pollution sonore, une mission confiée à l’observatoire du bruit en Île-de-France appelée « Bruitparif ». Une étude, mise en place depuis le printemps dernier a tirée des conclusions peu surprenantes. Mais les solutions proposées sont pour le moins étonnantes : baisser de 30 km/h la vitesse à la tombée du jour, et sensibiliser les usagers du boulevard périphérique… enfin, surtout les motards.Bruitparif a installé un dispositif serré pour prendre ses mesures grâce à 8 stations fixes qui enregistrent 24h/24 le volume sonore, et un véhicule laboratoire qui effectue des prélèvements tous les 700 mètres.Résultat : jamais de répit pour les riverains. Que ce soit le jour, la nuit, peu importe les heures, les valeurs ont été sensiblement les mêmes : le bruit est omniprésent. Mention spéciale pour les deux-roues : « Des émergences importantes allant jusqu’à 25 dB ont été observées au cœur de la nuit. Celles-ci sont essentiellement liées aux passages de certains véhicules deux-roues motorisés particulièrement bruyants ou roulant à vitesse excessive. »Un étude qui, finalement, pose les problèmes, réels, de pollution sonore, mais c’est dans les solutions proposées que le bât blesse.Première solution : imposer une vitesse maximale de 50 km/h sur le périphérique la nuit. Une idée qui peut paraître saugrenue. Rouler à 80 km/h n’impose pas de rouler en sur-régime, surtout lorsque le périphérique est fluide. Mais il fallait s’y attendre, les deux-roues en prennent pour leur grade.Autre solution proposée par Bruitparif : insister sur les actions de prévention et de sensibilisation pour inciter l’usager de la route à adopter un comportement moins bruyant. Principale cible : nous. « La responsabilisation des usagers du boulevard périphérique, notamment des conducteurs de véhicules deux-roues motorisés particulièrement bruyants ou circulant à vitesse excessive, principale cause de pics de bruit sur la période nocturne, peut constituer une cible intéressante. »Moins de bruit, moins vite, moins fort, taisez-vous amis motards, faites-vous tout petits et discrets. Circulez bien dans les files, soyez sage, bref... prenez les transports en commun ou, pire, la voiture.http://www.motomag.com/Le-peripherique-parisien-a-50-km-h.html
Nan, parce qu'il y a 25 ans, lorsque vous n'étiez encore qu'un éclair lubrique dans l'oeil de votre père, nous on pouvait rouler comme des tabanards en toute impunité