Je vais allez acheter de la peinture pour route et peindre en gros "Attention Radar" 300m en amont. C'est pas interdit que je sache de peindre sur les routes (sinon ils vont foutre un bon paquet de fan de cyclisme en tole....)!!!!
Pimouss,t'es sur de justesse absolue de tes déclarations d'impots de ces trois dernières années?
A la sortie nord de Bandol, une belle route récemment refaite et encore limitée à 50 Km/h car toujours en ville même si ce n'est pas évident. Les gendarmes y font de fréquents contrôles avec les jumelles. Aujourd'hui, en passant par là, j'ai vu à une centaine de mètres de l'endroit où ils se placent régulièrement, un panneau bien planté au milieu d'un parterre de fleurs ! Merci au riverain qui l'a fabriqué !
Le vent de la révolte se lèverait-il dans la majorité? Les députés UMP membres du collectif de "La Droite populaire" menacent vendredi le gouvernement et Nicolas Sarkozy de mesures de rétorsion s'ils ne sont pas entendus sur le maintien des panneaux prévenant des radars fixes.Dans un communiqué commun, la cinquantaine d'élus qualifient de "points non négociables" le maintien de ces panneaux et l'abandon de "la décision discriminatoire d'imposer aux motards de repasser un examen après cinq ans d'interruption de conduite"."Sans ce compromis, nous serons dans l'obligation d'en tirer les conclusions politiques", préviennent-ils.Interrogé par l'AFP sur les mesures envisagées par le collectif, le député du Rhône Philippe Meunier a indiqué que "l'affrontement" avec l'exécutif "se déroulera désormais dans l'hémicycle" de l'Assemblée nationale, sans davantage de précisions."Nous le disons calmement: 'Ca suffit!' Jusqu'à présent, nous avons été bien gentils mais c'est terminé... On en a marre de ces gages donnés à la gauche, aux écolos et aux bien-pensants de service. Nous avons été élus pour mener une politique de droite. Or, depuis trop longtemps, toutes les mesures vont à l'encontre de notre vision de la société", a dénoncé M. Meunier."Ces mesures sur la sécurité routière, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. On infantilise les Français, on essaie en permanence de les faire passer pour de dangereux criminels", a-t-il ajouté.Cette fronde s'était déjà manifestée mardi matin, dans le huis-clos de la réunion hebdodaire du groupe UMP à l'Assemblée nationale, où François Fillon a été chahuté comme jamais depuis 2007."Manque d'écoute", "mesures technocratiques", "décisions nullissimes", les critiques ont fusé contre un François Fillon très énervé, de la part de députés qui figuraient pourtant parmi ses soutiens face à "l'omni-président" Sarkozy et dans son duel pour Matignon avec Jean-Louis Borloo à l'automne."Il y a, c'est vrai, une agitation. Des bémols ont été émis jusque dans les rangs de soutiens traditionnels du Premier ministre", admet un député filloniste, assurant que des critiques avaient été relayées dès lundi à Matignon par les plus proches parlementaires de M. Fillon.Dans l'entourage du Premier ministre, on assume l'impopularité sur le sujet. "On a eu des résultats mais ça ne suffit plus: dans ces cas-là, il y a parfois besoin de mesures qui frappent l'opinion".Déterminé, comme Nicolas Sarkozy, à ne pas céder sur l'objectif de lutte contre l'insécurité routière, François Fillon a clamé vendredi qu'il n'y avait "pas de débat possible sur la nécessité de respecter les limitations de vitesse".A Matignon, on veut aussi croire qu'"il y a des députés (UMP) qui défendent les mesures. Mais on les entend moins"."A 90%, les députés UMP sont contre", rétorque un membre du collectif "Droite populaire". "Mardi matin, Fillon s'est raidi. Le fait de se raidir à ce point est surprenant", glisse-t-il.Ces dernières semaines, le fossé s'était déjà creusé avec la frange des députés UMP prise à rebrousse-poil sur les consignes de vote dans l'entre-deux tours des cantonales, le débat sur la laïcité ou celui sur le RSA."Avec Fillon, les liens se sont distendus", relève l'un d'eux, qui ajoute: "ça n'engage que moi, mais je pense qu'il serait temps qu'il parte". Des propos tenus par un "excité de l'instant", juge un filloniste. "Il ne faut pas donner à croire que c'est un sentiment en train de grandir", dit-il.Certes, une telle manifestation d'hostilité à l'égard de M. Fillon reste minoritaire, mais elle tranche avec la standing ovation que lui avaient réservée les députés UMP en novembre lors de sa reconduction à Matignon."La fin de l'unanimité, il savait que fatalement ça arriverait un jour ou l'autre", assure un autre député filloniste. C'est d'ailleurs pour cela que, pourtant très soucieux de l'unité du parti, il s'est résigné à mobiliser un cercle de fidèles, note cet élu.M. Fillon "n'a pas assez de relais", estime néanmoins un responsable parlementaire UMP. "Il a eu son heure de gloire quand il a été renommé, depuis il n'a que des emmerdes".
ils ont placés un radar "pédagogique" a l'entrée de Watten (dans le 59) est un pote qui habite juste en face de ce fameux radar m'a dit que les jeunes du quartier s'amuser le soir "a faire le concours de celui qui rentré le plus vite dans la ville...."
le port du gilet jaune est une bonne chose...