Immediately following a four wheeled weekend that saw him among the great protagonists at the Monza Rally Show, nine-time MotoGP World Champion Valentino Rossi gave the press and reporters his opinions regarding his first season with Ducati, sparing nothing. According to Italian sports newspaper La Gazzetta dello Sport, the Italian, who just finished second at the World Rally Show behind by eight-time world champion Sebastien Loeb said: "It's a nice way to finish the year, one that maybe, actually certainly, was the worst of my career. The gift I would ask from Santa? A competitive GP12." Rossi, who impressed fans at the Monza Autodromo with his ability to drive a Ford Fiesta RS WRC, continued talking about the new Desmosedici he tested two weeks ago in Valencia: "We have a very different bike, and I would like to see progress made in February. We hope to be more competitive. The fact that there are no limitations on testing will help us."
Valentino Rossi n’aurait pas de problème à rouler avec une CRTnovembre 29, 2011La CRT est sur toutes les lèvres mais avec des significations différentes. Ainsi, sur les lèvres de Carmelo Ezpeleta on peut lire ‘ESPOIR’, sur celle de Casey Stoner, on peut lire ‘JAMAIS’, sur celle de Randy de Puniet, avant de s’engager avec Aspar, on pouvait lire ‘PLUTOT RESTER A LA MAISON’. Mais l’exemple du Français, conjugué au retrait de Suzuki, a mis en lumière la mort ou en tout cas le grand déclin des prototypes MotoGP. Interrogé à ce sujet, Valentino Rossi n’a, quant à lui, pas fait énormément de remous autour de ce sujet, comprenant qu’il faudrait peut-être qu’un jour lui aussi s’y colle. « Avec le retrait de Suzuki, il y aura seulement 12 MotoGP, c’est un peu triste et c’est clair que nous devons utiliser des motos moins couteuses et si c’est le seul moyen, je n’aurais pas de problèmes à rouler avec une CRT, même si personne n’est excité par cette idée« .
Filippo Preziosi explique l’échec du couple Rossi – Ducati et les raisons d’y croiredécembre 1, 2011Filippo Preziosi, l’ingénieur Ducati en charge du département course de Borgo Panigale, est aussi le créateur de la Desmosedici.Après une saison noire comme celle que les rouges ont vécu cette année avec la totale remise en question de la conception même de sa GP11, on se doute que l’égo du monsieur doit en prendre un coup mais c’est aussi mal connaître l’humilité de ce grand monsieur de la moto.Le quotidien italien, « La Stampa », l’a rencontré pour examiner avec lui les raisons de cet échec.Morceaux choisis.L’ingénieur commence par le refrain que tout le monde connaît, pour l’avoir entendu depuis le Grand Prix des Pays-Bas et l’introduction de la GP11.1, à savoir que Rossi et Ducati ont mené des essais tout au long des Grands Prix, ce qui, selon lui, était le meilleur moyen de ne pas obtenir de résultats.Mais là où ça devient original, c’est que Filippo Preziosi aimerait qu’enfin, on « dé-Valentinoïse » la question des modifications apportées à la moto et même au projet Ducati.« Je voudrais “dé-valentinoiser” la question car ce que nous cherchons à faire, c’est une moto meilleure pour tout le monde et lorsque Valentino sera en mesure d’aller fort avec cette moto, tous les autres pilotes auront, à leur tour, beaucoup plus facile avec cette moto».Malgré cette année difficile, l’ingénieur italien ne tarit pas d’éloges à l’égard du nonuple champion du monde. « Je connaissais déjà ses grandes capacités de metteur au point mais j’ai été surpris de voir combien il a toujours été positif et disponible malgré le fait qu’il vivait une saison aussi difficile. Ceci aussi me fait comprendre qu’il est vraiment spécial ».Et des moments difficiles, ils en ont vécus, parfois au point de craindre la rupture. « Il y a eu des moments vraiment difficiles, comme au Mugello par exemple, qui était une course importante pour Valentino comme pour Ducati, et où, malgré la nouvelle moto, les résultats ne sont pas arrivés. Mais le respect mutuel n’a jamais manqué ».Evidemment, en 2012, quelque chose doit changer, que ce soit pour Rossi, qui n’a plus tellement de cartouches à tirer avant sa retraite, que pour Ducati qui doit continuer à associer sa Desmo à l’image d’une moto capable de gagner des courses. Alors que demande Rossi à Ducati et inversement ?« Valentino nous demande toujours la même chose: une moto qui peut gagner. Nous, de notre côté, nous demandons seulement à Valentino d’être Valentino. Quand il sera en confiance sur la moto il ramènera des choses merveilleuses. Le voir au Rallye de Monza me l’a confirmé ».Et Filippo Preziosi est aussi le premier à croire que Valentino Rossi a encore, dans sa manche, un championnat où l’autre. « Oui, je le sais depuis que je l’ai vu le jeudi soir passer une heure avec son électronique à analyser ses données, alors même qu’il savait que le week-end, il ne pourrait tout de même pas gagner: Il s’impliquait comme s’il se battait pour le titre ».Voilà les paroles optimistes d’un de ceux qui voulait Rossi en rouge. C’est maintenant à eux, pilote, ingénieurs et team, à montrer, que ces belles paroles en interview peuvent trouver un écho sur la piste.
y fera surement pas une très longue carrière
Faudrait demander à Marmoto, sa boule de cristal est toujours plus efficace que les professionnels du milieu